classe de primaire, 16 ans après

 

Comme je l’ai mentionné dans mon précédent post, j’ai eu un souper avec mes camarades de classe de primaire. Il me semble que ça faisait 5 ans depuis la dernière réunion. Étaient absentes la dernière fois et cette fois aussi (par leur nom de jeune fille parce que je suis pas à jour… ) : Sylvie Guillermin, Séverine Sottas. Étaient absents cette fois seulement : Frédéric Allemann, Félix Schafer.

Pour les autres, voici ce que j’ai retenu. Plus personne n’étudie (pas de doctorants). Jacques Doutaz, après avoir fait de l’assistanat à l’ETHZ, est engagé comme ingénieur forrestier en Valais. Il comprend et parle assez bien le suisse allemand (j’ai pas testé, mais je lui crois sur parole). Il est toujours célibataire, il me semble.

Benoît Gremaud. Il m’éclate, ce gars. Il habite dans un bungalow au camping de Gumefens! Il bosse au golf de Pont-la-Ville, aimerait bien devenir prof de golf. Tout ça après avoir fait des études de sport à l’Uni de Lausanne :) Benoît est célibataire aussi.

Céline (ex-)Fragnière est mariée et a un cabinet de podologie à la Tour-de-Trême.

Katia (ex-)Morard voit les choses en grand et s’est marié et a eu un enfant depuis la dernière fois qu’on s’est réuni. Elle est infirmière à l’hôpital Daler à Fribourg.

Stéphanie Delabays n’est sauf erreur pas mariée. Tout comme Katia, elle travaille au Daler. Elle a passé qq mois à soigner des malades dans l’Himalaya (un peu comme Corinne a fait en Afrique).

Virginie Fragnière fait un travaille dans la justice fédérale… je ne me rappelle plus exactement quoi. Elle a un appartement dans une maison à qq mètres d’où elle a grandi.

Valérie (ex-)Guinnard habite dans la maison de ses parents. Ses gamins sont déjà bien grands (l’aîné a 9 ans je crois!). Femme au foyer, maman de 3 enfants.

Laurence Grand travaille au kiosque de la Place Python à Fribourg. Elle a eu un gamin aussi.

Je trouve que j’ai pas assez discuté, mais bon… Je trouve que c’est toujours une sensation bizarre de les revoir. Certains j’ai l’impression de leur avoir parlé hier (Benoît, Jacques), avec d’autres je sens une certaine retenue réciproque (Virginie, Valérie, Céline) et à d’autres encore il est difficile de parler parce qu’on ne l’a jamais fait et qu’on s’est vraiment perdu de vue depuis la primaire (contrairement à la majorité, que j’ai croisé au cycle ou au collège).